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Nous sommes des etres de passage...
2 min read
Salut à tous mes chers lecteurs !
Je renouvelle mon journal, c'est une manière de dire que je suis encore vivant, pour ceux qui en douterait...
En fait, comme à mon habitude, je travaille sur un grand projet, qui est un micro-recueil de 14 sonnets à l'intention d'un même but, parvenir à dire ce qui a occupé presque deux années de ma vie... 14 sonnets pour deux ans, cela fait assez court, je me demande si j'y parviendrais.
Toujours est-il que j'ai peu de temps pour écrire, et que je dévoue tout mon temps à ce grand projet qui ne verra probablement le jour que pour une personne, et qui sera brûlé sur le bûcher glacial de mes illusions déçues...
Je ne peux donc pas publier grand chose... Je dois bien avoir un poème en réserve, mais il faudrait que je le retrouve, que je le tape...
Merci en tous cas d'être de plus en plus nombreux à suivre ce que j'écris, c'est un véritable enchantement de pouvoir partager mes textes avec un nombre croissant de personnes.
A bientôt, donc !
Je renouvelle mon journal, c'est une manière de dire que je suis encore vivant, pour ceux qui en douterait...
En fait, comme à mon habitude, je travaille sur un grand projet, qui est un micro-recueil de 14 sonnets à l'intention d'un même but, parvenir à dire ce qui a occupé presque deux années de ma vie... 14 sonnets pour deux ans, cela fait assez court, je me demande si j'y parviendrais.
Toujours est-il que j'ai peu de temps pour écrire, et que je dévoue tout mon temps à ce grand projet qui ne verra probablement le jour que pour une personne, et qui sera brûlé sur le bûcher glacial de mes illusions déçues...
Je ne peux donc pas publier grand chose... Je dois bien avoir un poème en réserve, mais il faudrait que je le retrouve, que je le tape...
Merci en tous cas d'être de plus en plus nombreux à suivre ce que j'écris, c'est un véritable enchantement de pouvoir partager mes textes avec un nombre croissant de personnes.
A bientôt, donc !
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Journal de bord d'un Junkie lunatique
6 min read
Lecteurs, lectrices,
Me voilà de retour à l'écriture.
Je reviens de loin, et quelle n'est pas ma joie d'être de nouveau parmi vous ! En attendant de faire sauter le bouchon du mousseux que j'ai prévu pour l'occasion - mousseux et non champagne ; mon budget apéritif ayant été fortement réduit, je n'ai plus les moyens de me payer le grand luxe... - en attendant, disais-je donc avant d'être interrompu par cette fâcheuse tendance à la digression qui est mienne et qui a raison de m'agacer sur bien des points, tout comme autrefois, où je me permettais de... Bref, disais-je donc avant d'être interrompu par la digression de ma digression, je vous propose un poème merveilleux, intitulé Lux Aeterna, merveilleux puisqu'émanant d'une entité vénérable répondant au nom de ma personne (je crois que je n'avais jamais fait pire phrase pour me mettre en valeur... La tendance à l'auto-satisfaction est chez moi source de jeu, mais parfois, je me pose des questions sur ma santé mentale... Ce qui demeure toujours de l'humour, je crois... Bref, je digresse à nouveau, et ce n'est pas super génialissime pour ce journal qui déjà promet d'être un tantinet aplati puisque j'en ai écrit un vague brouillon sur un vague carnet lors d'une vague nuit où j'avais vaguement l'impression d'être vaguement revenu à l'écriture, d'autant plus que je ne peut pas décemment laisser mes lecteurs les plus fidèles - les seuls - se demander pourquoi avoir écrit ce titre, alors que pour l'instant il n'y a aucun rapport. Je vais donc m'empresser de fermer cette parenthèse pour passer à la suite.)
Ce poème a été écrit à l'intention du défi "La musique de "Requiem for a dream" vous inspire-t-elle ? proposé par Ar?en (j'ai un problème de clavier avec mon double v, alors je ne peux même pas écrire le nom de la fondatrice du groupe Des Lys de Mots correctement. Je vous laisse juger ce qu'il en est. Je vous invite aussi à écouter la musique, à lire les autres textes, et à... manger du chocolat. Comme vous allez prendre votre dose de dépression pour trois jours à force d'écouter cette musique en boucle et de lire des textes à priori sombres, puisqu'il paraît que le film dénonce tous les travers de la drogue, il vaut mieux un remontant à portée de main.
C'est bien rigolo tout ça, mais que veut dire ce titre alors ?
A toute bonne nouvelle - mon retour timide à l'écriture - se corrèle malheureusement une mauvaise nouvelle - il en faut. Chers lecteurs adorés, nombreux artistes chéris de moi, artistes qui me chérissent -Y en a-t-il ? - je me réjouis à l'idée de vous annoncer que j'entre en cure de désintox'. Une cure de désintox d'un nouveau genre, puisque, bien que ce soit difficile à avouer, je suis accro, depuis tout petit, comme Obélix tombant dans la potion magique.
Je suis accro... aux pâtes au fromage.
Aux pâtes au fromage, surtout au fromage rappé ! Le comté obtient ma préférence, bien que l'emmental ne soit pas si mauvais. Le Saint-nectaire à son propre gout, mais se mange plutôt cru, alors qu'une sauce au bleu d'Auvergne pour accompagner des pâtes... N'est-ce pas magnifique ?
Je pourrais vous en parler pendant des heures et des heures. Et, en soi, il ne semble pas que manger une assiette de pâtes au fromage par jour me posât des problèmes physiques - je me porte comme un charme, merci - mais quand on se met à s'en préparer deux kilos par jour - les deux cents grammes du petit déjeuner étant les meilleurs, avec un petit fromage de chèvre juste revenu au four, une tranche de pain et un peu de pesto... - je commençais à acquérir quelques réflexes étranges.
Une amie m'a conseillé de faire cette cure, de me battre de manière à la fois noble et tenace contre moi-même pour résister, depuis qu'elle vit que mes réflexes même de poètes étaient atteints par cette habitude culinaire !
Par exemple, en écrivant culinaire, je l'ai fait rimer dans ma tête avec Saint-Nectaire. Comment redevenir poète si tout tourne autour de pâtes au fromage ?
J'ai bien peur que ce défaut soit à la poésie un outrage... Fromage !
Vous voyez, ça me reprend !!!
Toujours est-il que mon amie m'a conseillé de poser ma main sur ma plume plutôt que sur ma fourchette, et de me lancer à l'abordage (fromage !) que dis-je, à la reconquête de mon royaume perdu.
Peut-être a-t-elle aussi dit cela parce que je me suis mis à crier en plein supermarché : "On assassine les fromages ! Nous sommes tous des fromages mutants ! Dieux du fromages, amenez nous le messie du fromage, et boutez hors de la France les fromages de marques qui dénaturent nos régions ! Toute ma vie je lutterai contre ces bourreaux du fromage !
Je ne supporte pas les gens qui achètent des camemberts chimiques. Heureusement pour le gérant, il n'y a pas eu de morts. Pas immédiatement, en tout cas. Juste une petite dizaine de blessés. Au bas mot. Parce que j'aurai sorti mon couteau à fromage et que j'aurai... tranché quelques doigts avec ? Non, il doit y avoir une autre raison... Une peau de banane... Une dizaines de peau de banane... Qui jonchaient le sol... Exactement au même moment... Pourquoi tout avoir mis sur mon dos ?
Je vous rassure, le rayon des fromages de pays n'a pas été atteint.
Dans ma tentative de désintoxication, la route sera longue, pleines de pièges et de tentations, de pâtes qui cuisent en dix minutes seulement, de fromage rappé à portée de main, de restaurants italiens où aller se fournir... Mais voici mon serment, matelots ! (Je suis obligé d'effectuer des contrôles + V pour écrire un point d'exclamation... Foutu clavier !)
J'effectue ce serment devant vous pour vous tenir garants de ce défi, de cette joute que je m'impose à moi même, contre moi même. Un verrou de plus à un cadenas gigantesque, l'esprit d'un loup qui plane pour que j'ai peur de me changer en pierre, mu par ce réflexe automatique de piochage dans ma réserve de pâtes au fromage.
J'annonce des poèmes à venir, ils accompagnent cette cure.
Et que continue le voyage ! (froma...hum)
Mildpriest
Me voilà de retour à l'écriture.
Je reviens de loin, et quelle n'est pas ma joie d'être de nouveau parmi vous ! En attendant de faire sauter le bouchon du mousseux que j'ai prévu pour l'occasion - mousseux et non champagne ; mon budget apéritif ayant été fortement réduit, je n'ai plus les moyens de me payer le grand luxe... - en attendant, disais-je donc avant d'être interrompu par cette fâcheuse tendance à la digression qui est mienne et qui a raison de m'agacer sur bien des points, tout comme autrefois, où je me permettais de... Bref, disais-je donc avant d'être interrompu par la digression de ma digression, je vous propose un poème merveilleux, intitulé Lux Aeterna, merveilleux puisqu'émanant d'une entité vénérable répondant au nom de ma personne (je crois que je n'avais jamais fait pire phrase pour me mettre en valeur... La tendance à l'auto-satisfaction est chez moi source de jeu, mais parfois, je me pose des questions sur ma santé mentale... Ce qui demeure toujours de l'humour, je crois... Bref, je digresse à nouveau, et ce n'est pas super génialissime pour ce journal qui déjà promet d'être un tantinet aplati puisque j'en ai écrit un vague brouillon sur un vague carnet lors d'une vague nuit où j'avais vaguement l'impression d'être vaguement revenu à l'écriture, d'autant plus que je ne peut pas décemment laisser mes lecteurs les plus fidèles - les seuls - se demander pourquoi avoir écrit ce titre, alors que pour l'instant il n'y a aucun rapport. Je vais donc m'empresser de fermer cette parenthèse pour passer à la suite.)
Ce poème a été écrit à l'intention du défi "La musique de "Requiem for a dream" vous inspire-t-elle ? proposé par Ar?en (j'ai un problème de clavier avec mon double v, alors je ne peux même pas écrire le nom de la fondatrice du groupe Des Lys de Mots correctement. Je vous laisse juger ce qu'il en est. Je vous invite aussi à écouter la musique, à lire les autres textes, et à... manger du chocolat. Comme vous allez prendre votre dose de dépression pour trois jours à force d'écouter cette musique en boucle et de lire des textes à priori sombres, puisqu'il paraît que le film dénonce tous les travers de la drogue, il vaut mieux un remontant à portée de main.
C'est bien rigolo tout ça, mais que veut dire ce titre alors ?
A toute bonne nouvelle - mon retour timide à l'écriture - se corrèle malheureusement une mauvaise nouvelle - il en faut. Chers lecteurs adorés, nombreux artistes chéris de moi, artistes qui me chérissent -Y en a-t-il ? - je me réjouis à l'idée de vous annoncer que j'entre en cure de désintox'. Une cure de désintox d'un nouveau genre, puisque, bien que ce soit difficile à avouer, je suis accro, depuis tout petit, comme Obélix tombant dans la potion magique.
Je suis accro... aux pâtes au fromage.
Aux pâtes au fromage, surtout au fromage rappé ! Le comté obtient ma préférence, bien que l'emmental ne soit pas si mauvais. Le Saint-nectaire à son propre gout, mais se mange plutôt cru, alors qu'une sauce au bleu d'Auvergne pour accompagner des pâtes... N'est-ce pas magnifique ?
Je pourrais vous en parler pendant des heures et des heures. Et, en soi, il ne semble pas que manger une assiette de pâtes au fromage par jour me posât des problèmes physiques - je me porte comme un charme, merci - mais quand on se met à s'en préparer deux kilos par jour - les deux cents grammes du petit déjeuner étant les meilleurs, avec un petit fromage de chèvre juste revenu au four, une tranche de pain et un peu de pesto... - je commençais à acquérir quelques réflexes étranges.
Une amie m'a conseillé de faire cette cure, de me battre de manière à la fois noble et tenace contre moi-même pour résister, depuis qu'elle vit que mes réflexes même de poètes étaient atteints par cette habitude culinaire !
Par exemple, en écrivant culinaire, je l'ai fait rimer dans ma tête avec Saint-Nectaire. Comment redevenir poète si tout tourne autour de pâtes au fromage ?
J'ai bien peur que ce défaut soit à la poésie un outrage... Fromage !
Vous voyez, ça me reprend !!!
Toujours est-il que mon amie m'a conseillé de poser ma main sur ma plume plutôt que sur ma fourchette, et de me lancer à l'abordage (fromage !) que dis-je, à la reconquête de mon royaume perdu.
Peut-être a-t-elle aussi dit cela parce que je me suis mis à crier en plein supermarché : "On assassine les fromages ! Nous sommes tous des fromages mutants ! Dieux du fromages, amenez nous le messie du fromage, et boutez hors de la France les fromages de marques qui dénaturent nos régions ! Toute ma vie je lutterai contre ces bourreaux du fromage !
Je ne supporte pas les gens qui achètent des camemberts chimiques. Heureusement pour le gérant, il n'y a pas eu de morts. Pas immédiatement, en tout cas. Juste une petite dizaine de blessés. Au bas mot. Parce que j'aurai sorti mon couteau à fromage et que j'aurai... tranché quelques doigts avec ? Non, il doit y avoir une autre raison... Une peau de banane... Une dizaines de peau de banane... Qui jonchaient le sol... Exactement au même moment... Pourquoi tout avoir mis sur mon dos ?
Je vous rassure, le rayon des fromages de pays n'a pas été atteint.
Dans ma tentative de désintoxication, la route sera longue, pleines de pièges et de tentations, de pâtes qui cuisent en dix minutes seulement, de fromage rappé à portée de main, de restaurants italiens où aller se fournir... Mais voici mon serment, matelots ! (Je suis obligé d'effectuer des contrôles + V pour écrire un point d'exclamation... Foutu clavier !)
J'effectue ce serment devant vous pour vous tenir garants de ce défi, de cette joute que je m'impose à moi même, contre moi même. Un verrou de plus à un cadenas gigantesque, l'esprit d'un loup qui plane pour que j'ai peur de me changer en pierre, mu par ce réflexe automatique de piochage dans ma réserve de pâtes au fromage.
J'annonce des poèmes à venir, ils accompagnent cette cure.
Et que continue le voyage ! (froma...hum)
Mildpriest
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Devious Journal Entry
3 min read
Lecteurs, lectrices, néophytes aventureux,
J'avais dit que je reviendrai en janvier où en février. Au vu de la date actuelle, je crois que je me suis légèrement perdu, et avec moi l'impression de me faire aspirer par mes pages blanches, qui sont tant de draps blancs sur les reliques du poète que j'ai été... Mon écriture sera bien poussiéreuse, si je m'y remet...
Parce que l'envie revient ! Enfin, la promesse, les prémisses de textes poétiques, et je compte bien m'atteler à la tâche dès que je pourrai.
Mon plus grand désir actuel serait d'aller me perdre au milieu de collines, en attendant l'été, et de refleurir avec le printemps.
Bon. Je me rend compte que le temps n'est pas mon allié dans cette reconquête poétique.
Pour ceux qui apprécie mes textes comme pour ceux qui n'en n'ont pas encore lu, je devrai poster des choses d'ici à la fin du mois prochain.
Plus tôt, peut-être.
Pour vous aiguiller, cependant, une artiste de par ici à sorti un bouquin, qui s'appelle Placebo.
Je n'ai pas eu le temps de le lire, mais je vous conseille d'aller jeter un œil, il se peut que l'histoire soit intéressante, et en plus, des passages sont disponibles sur dA, par le compte de son auteur, Lucille-Neflier.
Autre chose encore : j'ai récemment redécouvert une dessinatrice - qui exécute ses dessins entièrement à la main - que je vous conseille d'aller visiter, ne serait-ce que pour l'aider a progresser dans son domaine. Je ne suis pas assez doué pour commenter le dessin, et je suis sur que nombre d'entre vous peuvent le faire mieux que moi. vous pouvez accéder à ses dessins par l'un d'entre eux, situé dans mes favoris... Elle se nomme Kitsu63. (Je promet qu'un jour, j'apprendrai à relier la page d'un auteur et son nom...)
Qu'est-ce que vous attendez ? En avant ! Le gain d'une découverte vaut souvent la peine du mouvement. Et si pour certains ce n'est pas le cas, il n'y a que de cette manière que l'on élargi nos horizons.
Une dernière remarque encore... Si vous avez des suggestions pour relancer mon inspiration, je suis preneur de toutes idées sur lesquelles s'exercer !
Entre deux mouvements de balancier, il arrive que le pendule s'arrête...
MildPriest
P.S. : N'oubliez pas que je suis encore joignable par messages pour toutes questions ou remarques éventuelles !
J'avais dit que je reviendrai en janvier où en février. Au vu de la date actuelle, je crois que je me suis légèrement perdu, et avec moi l'impression de me faire aspirer par mes pages blanches, qui sont tant de draps blancs sur les reliques du poète que j'ai été... Mon écriture sera bien poussiéreuse, si je m'y remet...
Parce que l'envie revient ! Enfin, la promesse, les prémisses de textes poétiques, et je compte bien m'atteler à la tâche dès que je pourrai.
Mon plus grand désir actuel serait d'aller me perdre au milieu de collines, en attendant l'été, et de refleurir avec le printemps.
Bon. Je me rend compte que le temps n'est pas mon allié dans cette reconquête poétique.
Pour ceux qui apprécie mes textes comme pour ceux qui n'en n'ont pas encore lu, je devrai poster des choses d'ici à la fin du mois prochain.
Plus tôt, peut-être.
Pour vous aiguiller, cependant, une artiste de par ici à sorti un bouquin, qui s'appelle Placebo.
Je n'ai pas eu le temps de le lire, mais je vous conseille d'aller jeter un œil, il se peut que l'histoire soit intéressante, et en plus, des passages sont disponibles sur dA, par le compte de son auteur, Lucille-Neflier.
Autre chose encore : j'ai récemment redécouvert une dessinatrice - qui exécute ses dessins entièrement à la main - que je vous conseille d'aller visiter, ne serait-ce que pour l'aider a progresser dans son domaine. Je ne suis pas assez doué pour commenter le dessin, et je suis sur que nombre d'entre vous peuvent le faire mieux que moi. vous pouvez accéder à ses dessins par l'un d'entre eux, situé dans mes favoris... Elle se nomme Kitsu63. (Je promet qu'un jour, j'apprendrai à relier la page d'un auteur et son nom...)
Qu'est-ce que vous attendez ? En avant ! Le gain d'une découverte vaut souvent la peine du mouvement. Et si pour certains ce n'est pas le cas, il n'y a que de cette manière que l'on élargi nos horizons.
Une dernière remarque encore... Si vous avez des suggestions pour relancer mon inspiration, je suis preneur de toutes idées sur lesquelles s'exercer !
Entre deux mouvements de balancier, il arrive que le pendule s'arrête...
MildPriest
P.S. : N'oubliez pas que je suis encore joignable par messages pour toutes questions ou remarques éventuelles !
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La Pause...
1 min read
Salut à tous,
Ne pouvant m'impliquer autant que je le veux sur dA, (et au vu du succès de mon dernier journal, accessoirement...) j'ai décidé de faire une pause.
Plus de lecture, plus de poèmes jusqu'à janvier/fevrier au moins.
C''est tout.
Je suis fatigué, j'ai un cursus scolaire exigeant, qui impose des sacrifices, et par dessus tout, j'ai un sentiment à la fois de lassitude vis à vis de ce qui m'entoure, de renoncement face auquel ne se dresse plus aucune envie de combattre, et une indicible incompréhension des gens qui m'entourent.
J'ai besoin de recul, en somme.
Ce qui ne doit pas empêcher de lire mes poèmes précédents, dont j'aimerai encore et toujours des avis.
Je reste accessible par notes, pour celles et ceux qui auraient encore de mes notes à répondre ou des notes à me faire parvenir.
M.P.
Ne pouvant m'impliquer autant que je le veux sur dA, (et au vu du succès de mon dernier journal, accessoirement...) j'ai décidé de faire une pause.
Plus de lecture, plus de poèmes jusqu'à janvier/fevrier au moins.
C''est tout.
Je suis fatigué, j'ai un cursus scolaire exigeant, qui impose des sacrifices, et par dessus tout, j'ai un sentiment à la fois de lassitude vis à vis de ce qui m'entoure, de renoncement face auquel ne se dresse plus aucune envie de combattre, et une indicible incompréhension des gens qui m'entourent.
J'ai besoin de recul, en somme.
Ce qui ne doit pas empêcher de lire mes poèmes précédents, dont j'aimerai encore et toujours des avis.
Je reste accessible par notes, pour celles et ceux qui auraient encore de mes notes à répondre ou des notes à me faire parvenir.
M.P.
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Scribouille, monstre de l'abime !
9 min read
Un titre inutile, un ! Commande suivante !
Redevenons sérieux un instant, voulez vous ? (A ces mots, un silence glacial envahit l'assemblée des internautes qui passent sur cette page... Tous sont pendus aux lèvres de l'auteur splendide, tous attendent de savoir s'il va enfin nous livrer ses secrets éternels et ancestraux qui rendent son écriture inégalable, les raisons de sa venue sur ce site, les raisons de l'aura qui entoure ce qui est déjà devenu une légende, et surtout, surtout, pourquoi il écrit un journal alors qu'il en à déjà rédigé un il y a à peine une semaine !)
Bref, re-redevenons serieux (A ces mots, un silence glacial se... Stop, arrête ! Bon, si vous y tenez, d'accord...) Je me suis fait taguer par la Fondatrice de mon groupe, ArwenGernak (oui, Ever-be, je sais qu'il faut mettre les noms entre guillemets plus flèches. Cependant, il se trouve que je n'ai pas trouvé les flèches sur ce clavier pourri d'interne...)
Donc, règles du tag : Apprécions gaiement cette mise au défi... (Avec une corde, et un joli noeud coulant...)
1- Il se trouve que je dois dire cinq choses à propos de moi.
2- La première règle étant que je poste les règles, j'ai cru utile de ne pas la placer en première... Mais capharnaüm ! (A mes souhaits.) Puisque la deuxième règle prend le numéro un et la première règle le numéro deux... Vite, extirpons nous de cet infâme bourbier.
3- Onze questions m'ont été posées. Je dois y répondre, avant la pleine lune et le conseil scrutera attentivement mes réponses pour savoir si oui ou non je peux m'engager sur la Voie... A moi de faire valser la poussière ! D'apprenti, je passe ensuite à initiateur et suis censé poser à d'autres élèves les questions qui les guideront sur la Voie...(poil aux doigts !) (J'aurais honte de cette vanne dans environ 10 minutes. Top au décompte.)
Je compte bien me dispenser de cette dernière étape. Non seulement le statut de maître ne me convient pas encore (je flotte dans l'habit) et en plus je ne connais pas 11 personnes à qui je pourrais offrir la joie de ce momment de réflexion intense qu'est le tag, exercice que je n'avais jamais pratiqué auparavant... J'en aurais bien collé un à Ever ! J'ai vu que tu avais déjà été taguée, alors tu es dispensée d'exercice (avec certificat médical.)
Je me demande d'ailleurs si je vais réussir à aller au bout de ce journal...
Petite précision aux lecteurs qui ne sont pas mes groupies : Mes Watchers sont des gens formidable, et pas seulement ceux que j'évoque ici ! Foncez sur leurs pages respectives une fois que vous avez terminé cette longue et fastidieuse lecture ! (Ou allez visiter mes poèmes, ils en seront ravi ! (Même si ce n'est peut-être pas la meilleure action que vous pourriez effectuer pour votre moral...)
4-La règle 4 rejoint la règle 3 dans le sens ou j'étais censé rédiger 11 questions et les soumettrent à 11 personnes ! La règle 4 est donc une règle 3, mais en améliorée. On peut donc légitimement appeller cette règle 4 une règle trois bis ; la règle suivante serait donc la 4. Seulement, je me suis déjà embrouillé entre là un et la deux, je ne vais pas (re)commencer à me prendre la tête, alors que j'en ne suis qu'au début !
(Je me contiens pour retenir une blague pas drôle... Allez... Oui, disais-je, ma blague est... Non, ne la dis pas, retiens toi... Respiration méditative... Ca y est, c'est passé.)
5- La règle numéro 5 découle directement de la règle numéro 4, donc de la règle numéro 3. C'est donc une 4bis-3ter. Je ne vais pas demeurer plus longtemps là dessus, je crois que ça ferait assez confus, et puisque ceux qui en sont arrivés là ont compris que je baignais dans la simplicité...
6-Il ne faut pas taguer les personnes qui nous ont taguées.
7-C'est la dernière règle dont on se fiche totalement, puisqu'elle est d'aller dire au personnes que j'aurais supposément tagué que je les ai taguées ! !
(Ca y est, j'ai honte d'avoir rédigé une vanne aussi pourri qu'un vil "poil au doigt", qui s'est immiscé dans un début de journal qui semblait être parfait, cynique, mordant, drole... De haute volée en somme !)
Cinq choses sur moi, enveloppées dans ce drap d'élégance et de finesse qui est toute ma signature. (bon sang, soit c'est drole, soit c'est un fiasco total... Croisons les doigts...)
1- Je partage les points deux, trois et quatre de ma celle qui m'a tagué avec celle qui m'a tagué.
2-Je suis, ce qui ne se distingue pas à la première approche, et qui pourtant le devrait mais avec une barrière informatique c'est plus facile de se laisser aller à dire les choses telles qu'on les penses puisqu'il est évident qu'il n'y a pas cette confrontation multiple et frustrante, je suis disais-je donc avant ces longues digressions qu'il m'arrive de produire quand je ne pense plus à rien d'autre qu'à écrire puisque ce n'est plus moi, c'est ma cervelle qui se tortille dans tous les sens pour me jeter des mots que j'attrape de haute volée pour les renvoyer directement sur ma page via cette raquette merveilleuse qu'est ce clavier siemens qui a mon avis ne date pas d'hier, et on pourrait même penser qui ne date pas d'avant hier tant il me fatigue les mains, d'ailleurs, je pense que j'aurais du mal à manger ce soir, heureusement que la douleur est celle de la main gauche parce qu'en plus pour me faire ma tambouille à une seule main autant que ce soit la main droite, et si c'est la main gauche c'est vraiment mieux, puisque j'ai déjà affreusement mal au pied à force d'avoir marché tout le jour ; j'ai profité d'un peu de temps libre pour flaner un peu, descendre en ville, rencontrer des gens ; ce qui me fais penser que je suis, disais-je avant de commencer une phrase assez proustienne bien que je ne m'en prétende ni du talent ni du niveau ni de la clarté sublime, je suis donc, à la fin, plutôt introverti, assez timide et par voie de conséquence, peu bavard.
3- Je viens de m'exploser la main gauche.
4- Je dois supporter mon colloc' d'internat dans toutes les situations, ce qui inclut celles ou il mets la musique à fond à une heure du mat' jusqu'à celles où il oublie ses clés dans sa chambre et donc qu'il s'enferme dehors, en passant par celle ou il m'enferme dehors !
5- Je remets constamment en cause ma manière d'écrire : trop de fois les mêmes jeux des mêmes mots dans les mêmes positions. Mes poèmes ne sont donc pas vraiment viable et je cherche une voie sur laquelle me perfectionner.
Onze questions que l'on me soumet et face auxquelles je reste humble. Avant d'y répondre, gloire à la fondatrice, à la Guilde et que l'on m'aide à tracer mes premières empreintes sur cette voie que je dois découvrir de moi-même (ce qui me fait vaguement penser à un grand live intégral quand même...)
Questions :
1. Pactiserais - tu avec le diable pour avoir l'éternelle jeunesse ?
2. 1 AB Q BC A PT: cela t'outrage-t-il ?
3. Si tu écrivais une histoire d'Ô, quelle serais ta source ?
4. Draps de coton ou draps de soie ?
5. Quel costume endosserais-tu pour un bal masqué ?
6. Ton voisin joue de la batterie tard dans la nuit, comment réagis-tu ?
7. Ange ou démon ?
8. Pourquoi la réponse 7 ?
9. Voleur ou volé ?
10.S'il ne fallait garder qu'un seul film, lequel choisirais-tu ?
11. Quelles sont les onze questions que tu vas poser au prochain pigeon ?
Onze réponse données aussi vives que si je découvrais pour la première fois les questions, ou du moins ce que j'avais à peu près prévu de répondre avant d'y avoir réfléchi... (C'est à dire, avec une marge d'erreur de plus ou moins une semaine...)
Pour les gens que ça passionne, je ferais remarquer qu'il peuvent, s'ils détiennent au plus profond de leur coeur toutes ces envies de flagellation intellectuelle, aller faire un questionnaire de Proust, ce qui sera aussi efficace que si je posais mes questions propres qui seraient de toute façon dénuées d'intérêt...
Et attention... Moteur, on tourne !
1- Non : j'aurais bien trop peur de m'ennuyer ! La vie ne prends un véritable éclairage que grace à la mort. C'est paradoxalement quand le rideau tombe qu'il se lève. Par contre, pactiser avec le diable contre une part de gateau au chocolat... J'y réfléchirais à deux fois !
2 - 2AB/2PiR² = 4QKC m'outrage bien plus fortement. (Quelle idée d'utiliser la distance AB alors qu'un quart de la circonférence par les 2/3 du rayon aurait suffi afin de déterminer K !)
3- La source d'une histoire d'Ô ? Celle de la nuit qui ment et prends des trains à travers la plaine. Ou l'esprit du poète qui cherche le refuge. L'histoire d'Ô voyage, d'Ôrigines à hÔrizons, et rien ne se placerait sur son passage... Si seulement j'avais trouvé la source.
4-Draps de velours.
5-J'endosse déjà un costume dans la vie de tous les jours, c'est bien suffisant.
6-Je vais dans l'escalier hurler : "Papa ! Recouche-toi maintenant !"
7-Homme
8-Pour le gouffre qu'il implique.
9-Envolé. Tout passe.
10- Le film d'une vie que j'aurais capturé avec attention, d'une vie qui m'aurait ému, d'une vie qui m'aurait marqué. Ma vie, trop fade, je pense...
11- J'ai déjà expliqué que je ne poserais pas de questions ! Il faut être dur de la feuille pour ne pas l'entendre !
Crédiou, je suis arrivé au bout de mon journal ! Victoire ! Je n'ai eu que la peur que mon ordi plante tout le long... Et j'ai sacrément mal à la main gauche !!!
Pour ceux qui sont arrivés jusque là, félicitations, vous gagnez... En fait, vous ne gagnez pas grand chose !
Il y avait mille manière de répondre à ces questions. Je m'en suis acquitté de cette manière, car tel à été mon bon vouloir et mon bon plaisir. Entrerais-je sur la Voie ? (D'accord, je pose une question, mais elle est rhétorique, ça ne compte pas !) Je dirais : Passe ton concours d'abord !
Redevenons sérieux un instant, voulez vous ? (A ces mots, un silence glacial envahit l'assemblée des internautes qui passent sur cette page... Tous sont pendus aux lèvres de l'auteur splendide, tous attendent de savoir s'il va enfin nous livrer ses secrets éternels et ancestraux qui rendent son écriture inégalable, les raisons de sa venue sur ce site, les raisons de l'aura qui entoure ce qui est déjà devenu une légende, et surtout, surtout, pourquoi il écrit un journal alors qu'il en à déjà rédigé un il y a à peine une semaine !)
Bref, re-redevenons serieux (A ces mots, un silence glacial se... Stop, arrête ! Bon, si vous y tenez, d'accord...) Je me suis fait taguer par la Fondatrice de mon groupe, ArwenGernak (oui, Ever-be, je sais qu'il faut mettre les noms entre guillemets plus flèches. Cependant, il se trouve que je n'ai pas trouvé les flèches sur ce clavier pourri d'interne...)
Donc, règles du tag : Apprécions gaiement cette mise au défi... (Avec une corde, et un joli noeud coulant...)
1- Il se trouve que je dois dire cinq choses à propos de moi.
2- La première règle étant que je poste les règles, j'ai cru utile de ne pas la placer en première... Mais capharnaüm ! (A mes souhaits.) Puisque la deuxième règle prend le numéro un et la première règle le numéro deux... Vite, extirpons nous de cet infâme bourbier.
3- Onze questions m'ont été posées. Je dois y répondre, avant la pleine lune et le conseil scrutera attentivement mes réponses pour savoir si oui ou non je peux m'engager sur la Voie... A moi de faire valser la poussière ! D'apprenti, je passe ensuite à initiateur et suis censé poser à d'autres élèves les questions qui les guideront sur la Voie...(poil aux doigts !) (J'aurais honte de cette vanne dans environ 10 minutes. Top au décompte.)
Je compte bien me dispenser de cette dernière étape. Non seulement le statut de maître ne me convient pas encore (je flotte dans l'habit) et en plus je ne connais pas 11 personnes à qui je pourrais offrir la joie de ce momment de réflexion intense qu'est le tag, exercice que je n'avais jamais pratiqué auparavant... J'en aurais bien collé un à Ever ! J'ai vu que tu avais déjà été taguée, alors tu es dispensée d'exercice (avec certificat médical.)
Je me demande d'ailleurs si je vais réussir à aller au bout de ce journal...
Petite précision aux lecteurs qui ne sont pas mes groupies : Mes Watchers sont des gens formidable, et pas seulement ceux que j'évoque ici ! Foncez sur leurs pages respectives une fois que vous avez terminé cette longue et fastidieuse lecture ! (Ou allez visiter mes poèmes, ils en seront ravi ! (Même si ce n'est peut-être pas la meilleure action que vous pourriez effectuer pour votre moral...)
4-La règle 4 rejoint la règle 3 dans le sens ou j'étais censé rédiger 11 questions et les soumettrent à 11 personnes ! La règle 4 est donc une règle 3, mais en améliorée. On peut donc légitimement appeller cette règle 4 une règle trois bis ; la règle suivante serait donc la 4. Seulement, je me suis déjà embrouillé entre là un et la deux, je ne vais pas (re)commencer à me prendre la tête, alors que j'en ne suis qu'au début !
(Je me contiens pour retenir une blague pas drôle... Allez... Oui, disais-je, ma blague est... Non, ne la dis pas, retiens toi... Respiration méditative... Ca y est, c'est passé.)
5- La règle numéro 5 découle directement de la règle numéro 4, donc de la règle numéro 3. C'est donc une 4bis-3ter. Je ne vais pas demeurer plus longtemps là dessus, je crois que ça ferait assez confus, et puisque ceux qui en sont arrivés là ont compris que je baignais dans la simplicité...
6-Il ne faut pas taguer les personnes qui nous ont taguées.
7-C'est la dernière règle dont on se fiche totalement, puisqu'elle est d'aller dire au personnes que j'aurais supposément tagué que je les ai taguées ! !
(Ca y est, j'ai honte d'avoir rédigé une vanne aussi pourri qu'un vil "poil au doigt", qui s'est immiscé dans un début de journal qui semblait être parfait, cynique, mordant, drole... De haute volée en somme !)
Cinq choses sur moi, enveloppées dans ce drap d'élégance et de finesse qui est toute ma signature. (bon sang, soit c'est drole, soit c'est un fiasco total... Croisons les doigts...)
1- Je partage les points deux, trois et quatre de ma celle qui m'a tagué avec celle qui m'a tagué.
2-Je suis, ce qui ne se distingue pas à la première approche, et qui pourtant le devrait mais avec une barrière informatique c'est plus facile de se laisser aller à dire les choses telles qu'on les penses puisqu'il est évident qu'il n'y a pas cette confrontation multiple et frustrante, je suis disais-je donc avant ces longues digressions qu'il m'arrive de produire quand je ne pense plus à rien d'autre qu'à écrire puisque ce n'est plus moi, c'est ma cervelle qui se tortille dans tous les sens pour me jeter des mots que j'attrape de haute volée pour les renvoyer directement sur ma page via cette raquette merveilleuse qu'est ce clavier siemens qui a mon avis ne date pas d'hier, et on pourrait même penser qui ne date pas d'avant hier tant il me fatigue les mains, d'ailleurs, je pense que j'aurais du mal à manger ce soir, heureusement que la douleur est celle de la main gauche parce qu'en plus pour me faire ma tambouille à une seule main autant que ce soit la main droite, et si c'est la main gauche c'est vraiment mieux, puisque j'ai déjà affreusement mal au pied à force d'avoir marché tout le jour ; j'ai profité d'un peu de temps libre pour flaner un peu, descendre en ville, rencontrer des gens ; ce qui me fais penser que je suis, disais-je avant de commencer une phrase assez proustienne bien que je ne m'en prétende ni du talent ni du niveau ni de la clarté sublime, je suis donc, à la fin, plutôt introverti, assez timide et par voie de conséquence, peu bavard.
3- Je viens de m'exploser la main gauche.
4- Je dois supporter mon colloc' d'internat dans toutes les situations, ce qui inclut celles ou il mets la musique à fond à une heure du mat' jusqu'à celles où il oublie ses clés dans sa chambre et donc qu'il s'enferme dehors, en passant par celle ou il m'enferme dehors !
5- Je remets constamment en cause ma manière d'écrire : trop de fois les mêmes jeux des mêmes mots dans les mêmes positions. Mes poèmes ne sont donc pas vraiment viable et je cherche une voie sur laquelle me perfectionner.
Onze questions que l'on me soumet et face auxquelles je reste humble. Avant d'y répondre, gloire à la fondatrice, à la Guilde et que l'on m'aide à tracer mes premières empreintes sur cette voie que je dois découvrir de moi-même (ce qui me fait vaguement penser à un grand live intégral quand même...)
Questions :
1. Pactiserais - tu avec le diable pour avoir l'éternelle jeunesse ?
2. 1 AB Q BC A PT: cela t'outrage-t-il ?
3. Si tu écrivais une histoire d'Ô, quelle serais ta source ?
4. Draps de coton ou draps de soie ?
5. Quel costume endosserais-tu pour un bal masqué ?
6. Ton voisin joue de la batterie tard dans la nuit, comment réagis-tu ?
7. Ange ou démon ?
8. Pourquoi la réponse 7 ?
9. Voleur ou volé ?
10.S'il ne fallait garder qu'un seul film, lequel choisirais-tu ?
11. Quelles sont les onze questions que tu vas poser au prochain pigeon ?
Onze réponse données aussi vives que si je découvrais pour la première fois les questions, ou du moins ce que j'avais à peu près prévu de répondre avant d'y avoir réfléchi... (C'est à dire, avec une marge d'erreur de plus ou moins une semaine...)
Pour les gens que ça passionne, je ferais remarquer qu'il peuvent, s'ils détiennent au plus profond de leur coeur toutes ces envies de flagellation intellectuelle, aller faire un questionnaire de Proust, ce qui sera aussi efficace que si je posais mes questions propres qui seraient de toute façon dénuées d'intérêt...
Et attention... Moteur, on tourne !
1- Non : j'aurais bien trop peur de m'ennuyer ! La vie ne prends un véritable éclairage que grace à la mort. C'est paradoxalement quand le rideau tombe qu'il se lève. Par contre, pactiser avec le diable contre une part de gateau au chocolat... J'y réfléchirais à deux fois !
2 - 2AB/2PiR² = 4QKC m'outrage bien plus fortement. (Quelle idée d'utiliser la distance AB alors qu'un quart de la circonférence par les 2/3 du rayon aurait suffi afin de déterminer K !)
3- La source d'une histoire d'Ô ? Celle de la nuit qui ment et prends des trains à travers la plaine. Ou l'esprit du poète qui cherche le refuge. L'histoire d'Ô voyage, d'Ôrigines à hÔrizons, et rien ne se placerait sur son passage... Si seulement j'avais trouvé la source.
4-Draps de velours.
5-J'endosse déjà un costume dans la vie de tous les jours, c'est bien suffisant.
6-Je vais dans l'escalier hurler : "Papa ! Recouche-toi maintenant !"
7-Homme
8-Pour le gouffre qu'il implique.
9-Envolé. Tout passe.
10- Le film d'une vie que j'aurais capturé avec attention, d'une vie qui m'aurait ému, d'une vie qui m'aurait marqué. Ma vie, trop fade, je pense...
11- J'ai déjà expliqué que je ne poserais pas de questions ! Il faut être dur de la feuille pour ne pas l'entendre !
Crédiou, je suis arrivé au bout de mon journal ! Victoire ! Je n'ai eu que la peur que mon ordi plante tout le long... Et j'ai sacrément mal à la main gauche !!!
Pour ceux qui sont arrivés jusque là, félicitations, vous gagnez... En fait, vous ne gagnez pas grand chose !
Il y avait mille manière de répondre à ces questions. Je m'en suis acquitté de cette manière, car tel à été mon bon vouloir et mon bon plaisir. Entrerais-je sur la Voie ? (D'accord, je pose une question, mais elle est rhétorique, ça ne compte pas !) Je dirais : Passe ton concours d'abord !
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